Sed Lux Permanet
Genève – 2011
Argument
Spectacle commandé par le Grand Ballet de Genève
Dans ce dialogue entre la vie et la mort, entre la lumière et les ténèbres, la vie et lumière triomphent et mènent vers un horizon de sérénité et de clarté grâce à une musique qui ne laisse jamais indifférent.
Ken Ossola apporte une nouvelle dimension à ce chef d’oeuvre de l’histoire de la musique.
Le Requiem de Gabriel Fauré, composé entre 1877 et 1890 fut le plaisir personnel du titulaire des orgues de l’église de la Madeleine à Paris, fatigué de jouer toujours la même musique aux funérailles. De son oeuvre, Fauré a écrit: “Mon Requiem, on a dit qu’il n’exprimait pas l’effroi de la mort, quelqu’un l’a appelé une berceuse de la mort. Mais c’est ainsi que je sens la mort: comme une délivrance heureuse, une aspiration au bonheur d’au-delà, plutôt que comme un passage douloureux…”
Durée : approx. 36 m (sans entracte)
Equipe de Production
Chorégraphie : Ken Ossola
Musique : Gabriel Fauré
Lumières : Kees Tjebbes
Scénographie et costumes : Jean-Marc Puissant
Directeur du Ballet du Grand Théâtre de Genève
Philippe Cohen
Programme Musical
REQUIEM – OPUS 48
1. Libera me
2. Agnus dei
3. Pie jesu
4. Sanctus
5. Offertoire
6. Introit et kyrie
7. In paradisum
Médias
Ils en ont dit
“Danse et musique religieuse se marient parfaitement dans cette pièce composée de duos et d’ensembles d’une remarquable beauté. “
Murmures Magazine
” La beauté et le raffinement du travail de Ken Ossola, en parfaite intelligence avec la musique de Fauré, en imposent. Par groupe de trois ou quatre, pi dans des ensembles rassemblant toute la compagnie, les danseurs servent à merveille ce divertissement profane sur une musique intensément religieuse. ”
Benjamin Chaix, La Tribune de Genève
« Les 22 danseurs du Grand Théâtre offrent un bain de nuit mémorable. Cette soirée a la grandeur d’une promesse tenue, une ambition artistique… Ce qui frappe chez Ken Ossola, c’est la force d’un imaginaire. Mais aussi un sen du drame, d’un drame charnel et métaphysique irréductible à l’illustration. »
Alexandre Demidoff, Le Temps